Horoscope du jour Taureau 16/03/2023

Ambiance astrale

Avec Soleil/Neptune/Mercure carré à Mars, la détermination habituelle est mise à mal. Pour éviter les imprudences, le mieux est d'en faire le moins possible !

Si vous êtes en couple

Vénus ne se sent pas très à l'aise avec son carré à Pluton. Trop d'interrogations et de suspicion vous surprennent, pour espérer trouver l'équilibre amoureux. Mars n'arrange rien, avec sa grande agitation, difficile à maîtriser. Retenez un tempérament trop exclusif, votre moitié a besoin d'air !

Si vous êtes célibataire

Vénus et ses aspects compliqués ne facilitent pas le sentiment amoureux. Certes, Uranus dit non à la routine, mais vous l'aimez bien, votre train-train ! Les changements, vous n'êtes pas fan ! En fait, à trop vous triturer l'esprit, vous en concluez qu'il est préférable de rester seul, que mal accompagné.

Votre vie amoureuse

Pluton interroge, et Mars énerve. Avec une telle combinaison, difficile d'aller chercher l'amour ! En couple, lâchez la mauvaise humeur, et retrouvez votre bienveillance. Elle se cache ! Le solo, la période n'est pas propice aux rencontres, la nervosité risque de vous faire faire des maladresses.

Votre travail

Mercure subit la mauvaise influence de Mars, et vous concentrer sur le job paraît insurmontable. Avec en plus une certaine fatigue qui arrive, c'est le pompon ! Ce ne sont pas les idées qui manquent, mais plutôt la façon de les mettre en pratique !

Vos finances

Quelques petites turbulences arrivent, assez désagréables. Des projets plus coûteux que prévu, ou des frais qui s'additionnent, il est possible que vous ayez du mal à joindre les deux bouts. Vous devez faire une croix sur quelque chose. Revoyez le budget.

Votre bien-être

Entre la mauvaise humeur et la nervosité, vous avez hâte que la journée se termine. Sans compter l'amour, qui subit des turbulences, toute aide est la bienvenue !

Votre entourage

Vous recherchez une épaule compatissante, pas sûr que vous la trouviez ! Il faudrait vous y prendre différemment, et c'est là que le bât blesse !