Horoscope du jour Poissons 19/07/2023

Ambiance astrale

Jupiter veut imposer ses excès, avec toutes les complications que ça engendre. Essayez de les canaliser le plus possible, ça part dans tous les sens !

Si vous êtes en couple

La Lune est collée aux Basques de Mercure, comme souvent. Mais leur dissonance avec Jupiter risque de créer quelques couacs ! Vous ne vous en rendez pas compte, mais vous compliquez inutilement tout ce qui se passe. Même la diplomatie habituelle s'égare. Arrêtez de poser des questions sans queue ni tête !

Si vous êtes célibataire

Neptune et sa soif de perfection ne vous lâchent pas ! Le fait est que l'intuition est toujours aussi développée et compense des émotions difficilement gérables. Vous avez tout intérêt à écouter votre petite voix intérieure, elle vous empêche de dériver. Totalement indispensable à l'amour !

Votre vie amoureuse

Vous devez vous adapter à un Jupiter qui en demande beaucoup. Que ce soit dans les émotions, ou dans les propos, vous ne faites pas dans la demi-mesure. En couple, évitez d'être trop possessif, ça crée des tensions. Le solo, la conversation n'est pas votre atout majeur, préférez un ciné plutôt qu'un resto.

Votre travail

Vous préférez vous taire, plutôt que de commettre une boulette irréparable, bien vu. Vous faites bien, car l'impartialité n'est pas à l'ordre du jour. Votre mauvaise foi risque de poser problème, autant dans les réunions, que dans les prises de décisions.

Vos finances

Gare au porte-monnaie ! C'est un de ces jours où vous raisonner paraît particulièrement compliqué ! Les planètes demandent des efforts, pas sûr que ce soit le bon moment. Afin d'éviter tout débordement, évitez les tentations. Restez à la plage, tranquille !

Votre bien-être

Vous sentez que quelques ajustements sont nécessaires pour avancer. Mais vous prendre en main semble compromis. Tout glisse, de manière irresponsable.

Votre entourage

Gare à la gourmandise, on ne l'arrête plus ! Et tant pis si vous avez déjà repris deux fois de ce succulent gâteau. Jamais deux sans trois, parait-il !